Bonjour,

J'aimerais rajouter à ce message reçus, les impressions, ressentis et images qu'ils m'ont transmis lorsqu'ils me dictaient ce message. J'aimerais vous les transmettre, pour que vous compreniez...Je l'espère...

Tout au long de la réception, ils m'ont imprimés les images suivantes pour "m'expliquer" ce qu'ils voulaient dire:

- Les abattoirs, j'y ai vu des vaches que l'on forçait à rentrer dans le couloir de la mort, elles étaient effrayées et pleuraient sachant ce qui les attendait. La mort prématurée dans la barbarie. Elles entendaient les autres avant elles, rendre leurs derniers souffles. Aucun regard, aucune compassion, aucun geste de la part de leurs bourreaux…

- Les cages des chiens lors de la grande fête en Chine. Les chiens pleuraient de douleurs, certains avaient les pattes brisées, d’autres l’arrière train, d’autres des plaies béantes ouvertes. Ce sont tous des jeunes chiens. Ils y étaient jetés comme de vulgaires sacs. Ils souffraient, pleuraient et étaient terrorisés, de voir ce que ceux à qui ils ont tant donnés pouvaient leurs faires sans le moindre ressentiment. Ils ont donné leurs confiances aux humains, leurs compassions, leurs bienveillances, ils sont les gardiens et les protecteurs silencieux de nos vies depuis l’origine de la domestication, et les humains en Chine les traitent pire qu’un objet usagé, abimé, jeté aux ordures, sans aucune considération.

- Les cages avec des volailles, entassées les unes sur les autres, étouffants, pouvant à peine respirer dans l'étroitesse et la puanteur de leurs excréments. Leurs douleurs d'être ainsi traitées alors qu'elles se sacrifient pour nous nourrir.

- Les animaux gavés de produits chimiques et médicaments dans les élevages, les rendant malades, pour aller contre la nature et les rendre plus conforme aux attentes des industries bouchères en tout genre. Ils ne comprenaient pas que l'on puisse leurs faire cela car nous ne nous le ferions pas à nous mêmes. Enfin, nous nous le faisons en les mangeant. C’est d’ailleurs ce qui amplifie la fréquence des maladies graves qui se déclenchent de plus en plus chez les humains, notamment les cancers. Nous mangeons littéralement des déclencheurs de maladies. Les médicaments et produits chimiques, n’ont pas toujours le rôle de soigner, en l’occurrence ici ce n’est pas le cas. Ils permettent d’aller contre nature pour intensifier la production et la croissance des animaux tout en ayant une viande ferme et suffisamment gouteuse. Interrogez – vous…

- Les camps de concentration nazis. Ils m'ont montrés les nôtres, des humains, jetés et entassés par ceux de notre espèce. Les dépouiller de tous les biens qu'ils possédaient et portaient sur eux, leurs raser la tête, leurs arracher les dentsen métal précieux, leurs arracher les bagues de fiançailles et les alliances, en leurs indiquant que désormais ils n’en auraient plus besoin. Tout cela pour leurs retirer leurs identités, les déshumaniser, leurs rendant peut être la tâche plus "facile". La frayeur, la terreur, la douleur, de ceux qui l'ont vécus ne comprenant pas ce qu'ils leur arrivaient et ne sachant pas si ils reverraient leurs proches un jour. Leurs désarrois et incompréhensions. Les corps mutilés, affamés, en souffrance. Les charniers où ils étaient jetés à peine encore vivants mais conscients. Les fours dans lesquels ils étaient jetés pour être brûlés, certains respiraient encore. Leurs peines, leurs prières pour ceux qui leurs faisaient subir cela. Les leurs, les humains, qui avaient perdus la raison et toute trace d’humanité.

Dans toutes ces impressions, voulez vous savoir ce que tous ont ressenti, humains et animaux...L'on pourrait aisément imaginer de la haine ou un sentiment y ressemblant. Il n'en est rien...Ce sont des prières pour que nous retrouvions la raison. Ce sont leurs pardons pour les folies dont nous sommes capables...

A tous ceux, qui liront ces lignes, pardonnons nous et pardonnons à nos Frères Humains vivant sur Terre ; pardonnons toutes les horreurs, abominations et folies dont nous avons été et  sommes encore capables envers nous même, envers les animaux, envers la Terre et tout ce qui vit à sa surface, et dans les océans. Ce que nous leurs faisons subir, nous nous le faisons subir. Nous n’avons jamais été plus sauvages et plus déshumanisé que nous ne le sommes aujourd’hui. Même aux origines de l’Humanité, le respect et la compassion pour tout ce qui vit étaient de mise. Chaque animal sacrifié, même chassé, était remercié pour son sacrifice en ayant donné sa vie pour nourrir les autres.   Il en va de notre avenir,  de celui du futur de notre Planète qui est une Terre d’accueil, une maison qui ne nous appartient pas. Nous y sommes des locataires de passage comme toute espèce. Il en va du futur des nouvelles générations, qui naissent et du futur de l’Humanité.  Transmettons leurs le changement, transmettons leurs le pardon, la paix du cœur, le partage, le respect et non plus la folie ni la peur. 

Namasté,

Aurèle